Escrime

Équilibre

Renforcement musculaire

Souplesse

Endurance

Intensité élevée

Escrime

de combat, l’escrime se pratique avec une épée, un fleuret ou un sabre. Le but est de toucher son adversaire en premier avec la pointe ou le tranchant de son arme sur les parties du corps autorisées (celles-ci varient selon l’arme utilisée). Pour compter les points facilement lors des compétitions, les joueurs portent une tenue électrique qui s’illumine d’une certaine couleur en fonction des touches de l’adversaire.

Quels sont les bénéfices ?

  • L’escrime renforce les muscles – principalement ceux des jambes, des bras et du dos.
  • Elle développe l’endurance ainsi que l’équilibre et la souplesse.
  • Cette activité suppose également une grande concentration et requiert réflexion, anticipation et vitesse.

Quel matériel est nécessaire ?

Une tenue spécifique est indispensable : masque, gant, veste et pantalon résistants, sous-cuirasse, chaussettes hautes, chaussures légères et protège-poitrine pour les femmes. Et bien sûr, un fleuret, une épée ou un sabre.  Si vous débutez, l’équipement est souvent fourni par le club.

Épée, sabre ou fleuret : tout savoir sur la manière de toucher

Il existe trois façons de toucher l’adversaire avec son arme :

  • l’estoc, aussi appelé la pointe
  • la taille, aussi appelée le tranchant
  • la contre-taille, aussi appelée le faux tranchant

Le fleuret et l’épée sont uniquement des « armes de pointe », c’est-à-dire qu’on ne peut toucher son adversaire qu’avec la pointe de son arme.

En revanche, avec le sabre, on peut toucher l’adversaire avec toute l’arme (la pointe, le tranchant et le faux tranchant).

Que se passe-t-il quand les « tireurs » se touchent en même temps ?

Deux possibilités :

  • Au fleuret et au sabre, c’est celui qui a déclenché l’attaque qui gagne le point ;
  • À l'épée, les deux tireurs sont déclarés « touchés » et donc chacun gagne un point.

Le saviez-vous ?

Il est conseillé aux débutants de commencer avec le fleuret, arme souple et légère qui tient son nom de la fleur de laine que l’on enroulait autrefois au bout de la lame pour éviter les blessures.